-
Carnets du Tras os Montes (1)
A Pitoes da Júnas
J'ai lu mon poème à Ana Margarida
Et nous avons souri
Et dans le café sombre
Les pierres luisaient comme ses cheveux d'ombre
Puis elle m'a expliqué
Que par les plateaux
Il y a deux routes pour la frontière
Celle de Tourém
Celle de Requiás
Aujourd'hui quand je retourne
Les vaches encore
Sont là couchées dans les fougères
Et les deux tourterelles
Vives et si légères à la queue de perles
Alors la fontaine
Je n'avais pas suffisamment regardé
La faute peut-être à tant de grand soleil
Pas tant regardé
Couler
Juste
La source
Pitoes da Júnas - juillet 2013
-
Commentaires
Un des tout premiers commentaires sur ce nouveau blog. J'espère que tu vas bien. Je t'embrasse.
Ajouter un commentaire
ah
Toujours de la fraîcheur, même dans la peine, tes mots
merci !