Ma femme est morte, je suis libre ! Je puis donc boire tout mon soûl. Lorsque je rentrais sans un sou, Ses cris me déchiraient la fibre.
Première strophe du Vin et l'assassin De Charles Baudelaire
(cliquer sur l'image pour l'afficher plein écran)
Commentaires
1
Françoise R
Mercredi 12 Octobre 2016 à 11:12
Cette photo m'a fait sourire tant elle est originale. Tu as eu une excellente idée de l'associer à ces quelques vers de Baudelaire. Le côté irrévérencieux accompagne à merveille l'image !
Cette photo m'a fait sourire tant elle est originale. Tu as eu une excellente idée de l'associer à ces quelques vers de Baudelaire. Le côté irrévérencieux accompagne à merveille l'image !
Et, chaque fois, à l'occasion de ma recherche, si grand plaisir à relire les poèmes de Baudelaire !