• Crist 18

    Crist 18

     

    Ma femme est morte, je suis libre !
    Je puis donc boire tout mon soûl.
    Lorsque je rentrais sans un sou,
    Ses cris me déchiraient la fibre.

    Première strophe du Vin et l'assassin
    De Charles Baudelaire

    (cliquer sur l'image pour l'afficher plein écran)


  • Commentaires

    1
    Françoise R
    Mercredi 12 Octobre 2016 à 11:12

    Cette photo m'a fait sourire tant elle est originale. Tu as eu une excellente idée de l'associer à ces quelques vers de Baudelaire. Le côté irrévérencieux accompagne à merveille l'image !

     

      • Mercredi 12 Octobre 2016 à 12:48

        Et, chaque fois, à l'occasion de ma recherche, si grand plaisir à relire les poèmes de Baudelaire !

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